Notre lot précédent de Grande Champagne N.22 étant dorénavant épuisé, nous l’avons remplacé par un cognac de la même époque et du même cru.
Celui-ci provient des stocks d’un petit négociant de la région, chez lequel il était référencé sous le nom du viticulteur qui leur avait vendu de très nombreuses années auparavant. Soigneusement stocké dans un grenier, ce cognac nous attendait patiemment.
Un Cognac parmi les plus âgés de notre collection, sans les preuves indispensables pour justifier le millésime selon les règles en vigueur. Deux bombonnes uniquement sont disponibles.
Notes de dégustation
Robe très ambrée, sombre. Montant puissant, assez dense. Le nez est riche, presque sherry, relevé par des notes plus élégantes de fruits secs, de bois exotique, de tabac. En bouche, l’attaque est riche, onctueuse, très équilibrée. Les tannins sont puissants, témoignant des nombreuses années passées en fûts. Mais ils ne piquent pas, les rancios sont aboutis, les tannins parfaitement fondus. L’alcool se fond dans les arômes et dans la texture, il ne se sent plus. Finale dense, sans aquosité, les tannins se fondent dans les arômes de fruits secs et de bois exotique. Touche de bourgeon de cassis en toute fin. Un cognac rarissime.